Pour exploiter tout son potentiel, le continent doit développer des partenariats, la mise en réseau de chercheurs et d’étudiants et l’implantation d’écoles étrangères.
L’Afrique forme des sociologues et des philosophes à la pelle, mais compte peu d’ingénieurs opérationnels. » Tel est le constat d’Etienne Giros, président délégué du Conseil des investisseurs français en Afrique (CIAN). Pourtant les besoins sont énormes : bâtiment et travaux publics, génie civil, mécanique, électricité, maintenance, logistique (notamment gestion de la chaîne du froid), mines, agronomie, énergie, télécoms et numérique. Lire l’article sur le Monde Afrique